Des discussions qui interviennent dans un contexte politique tendu : à noter que la « fidirazioni di l’uparaghji di u turisimu corsu » avait fait siège hier devant les grilles de la préfecture, demandant des mesures exceptionnelles de soutien de la part de l’Etat et dénonçant entre autre le crédit d’impôt pour les investissements.
Mal contrôlé par les services de l’Etat, ce dispositif a permis à des spéculateurs de construire à moindre frais des résidences secondaires destinées à la location, concurrençant de fait l’hôtellerie traditionnelle.